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La Sèvre nantaise
faisait limite entre les paroisses de la Verrie, rive gauche et de
Saint-Hilaire de Mortagne, rive droite. Sur la paroisse de la Verrie se
trouvaient les papeteries de Sandouzière, de Chargnais et d’Echarpeau.
Sur celle de Saint-Hilaire de Mortagne se trouvaient les papeteries de
«chez Boutin», de Rochard, de Rapion, des Zais, etc ....
Sèvre nantaise (Extrait d’un texte des AD de la Vendée)
La Sèvre nantaise prend sa source en Deux-Sèvres au sud de la commune de Neuvy-Bouin. Après un périple de près de cent-soixante kilomètres à travers le haut-bocage, la rivière rejoint le fleuve Loire à Nantes. La Sèvre matérialise plusieurs fois la limite entre le département de la Vendée et ceux de Loire-Atlantique et de Maine-et-Loire. Son cours sinueux interdit toute navigation mais autorise l'installation de différents ouvrages hydrauliques. Depuis le début du XVIIIe siècle jusqu'au début du XXe siècle, la Sèvre nantaise est la rivière de Vendée possédant le plus grand nombre de moulins à eau et d'infrastructures du même type. Pour le dernier quart du XIXe siècle, on compte pour le seul département de la Vendée trente-cinq moulins à eau, une minoterie, quatre papeteries (à Saint-Hilaire-de-Mortagne, Mortagne-sur-Sèvre, Tiffauges et La Verrie), une blanchisserie à Saint-Laurent-sur-Sèvre et treize usines dont huit filatures.
Papeteries de Saint-Hilaire de Mortagne
Papeteries de la Verrie
Papeterie de Mortagne sur Sèvre
Papeterie de Saint-Aubin des Ormeaux
Papeterie de Cugand
Papeterie d'Evrunes
Les Epesses
Archives départementales de la Vendée.
- - Registres paroissiaux numérisés
- - Relevés des nom de Vendée
Bibliographie :
- Bernard Raymond.- moulins à papier Papeteries de la Sévre nantaise.- Editions MeMo